Christian Proulx

Christian Proulx, né et élevé à Ottawa, est un fier Franco-Ontarien, père de famille et un grand-père. Christian a travaillé comme livreur de journaux, plongeur et aménagement paysager avant de se consacrer dans le domaine de la construction en tant que plombier/ superviseur. Christian apporte une attitude positive, attentive, perspicace et collaborative. 

 Grâce au scoutisme, Christian a appris l'importance de concilier le travail, les besoins et les désirs. Christian est une personne pratique qui adapte ses compétences, ses connaissances et son expérience pour trouver des solutions qui accordent la priorité aux besoins et au bien-être de tous. Christian croit que chacun a de la valeur et peut contribuer aux solutions. Christian est passionné par la construction d'une société et d'une communauté plus durable, inclusive et abordable. 

Christian, nouveau venu sur la scène politique, s'est présenté comme candidat Vert aux récentes élections fédérales et provinciales dans la circonscription d'Ottawa-Vanier. Christian connaît la valeur de la communauté et partage les valeurs du Parti vert, non seulement en matière d'environnement, mais également en ce qui concerne la nécessité de faire de la politique différemment, d'apporter l'honnêteté, l'intégrité et la collaboration au gouvernement.

Jaycob Jacques

Je m'appelle Jaycob Jacques et je suis étudiant à l'Université d'Ottawa. Je trouve du plaisir dans des activités simples telles que le crochet, la lecture, le bénévolat et le jardinage. Ayant vécu dans un logement social, je peux attester au fort sentiment de communauté que le logement planifié peut favoriser, ce qui a renforcé ma conviction quant à l'importance de garantir des logements abordables.

Ayant grandi dans une famille francophone à Sudbury, en Ontario, j'ai appris l'importance de l'éducation et des services en français accessibles, à travers mon école et mon travail avec l'ACFO. J'ai été profondément influencé par ma mère, infirmière en soins intensifs de carrière, et ma grand-mère, enseignante en école primaire, qui ont toutes deux incarné l'humilité et le soin communautaire. Elles ont éveillé mon intérêt pour la profession de soignant et m'ont inspiré à soutenir et à plaider en faveur de ces professionnels dévoués, essentiels à des services de santé équitables et accessibles.

Ma ville natale, autrefois appelée le « paysage lunaire » en raison d'être dénudés et vides, causés par des années de pluie acide et de mauvaise gestion environnementale, est aujourd'hui un exemple de sagesse environnementale. Des années de reforestation et d'efforts pour promouvoir la biodiversité en ont fait un modèle florissant de récupération environnementale, dont je puise mes racines écologiques.

Elizabeth May

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Chef du Parti Verts du Canada

Depuis ses premières années en tant que militante écologiste, alors qu'elle luttait financièrement tout en servant les tables au restaurant familial au Cap-Breton, jusqu'à son travail, en tant que mère célibataire, pour faire entendre la voix des communautés défavorisées dans les allées du pouvoir, elle a été une pionnière pour des générations de femmes et de personnes militantes canadiennes.

Elizabeth a été la première écologiste canadienne à déterminer comment le racisme environnemental exposait les personnes marginalisées à des menaces inacceptables pour leur santé. Elizabeth a utilisé sa formation et ses ressources juridiques pour aider les peuples autochtones du Canada et du monde entier.

Lorsque les voies juridiques et politiques n'ont pas donné de résultats, Elizabeth a mis son corps, sa sécurité et son bien-être en jeu. En mai 2001, elle a fait une grève de la faim de dix-sept jours devant la colline du Parlement pour protester contre les conditions toxiques de la seule communauté à prédominance noire de l'île du Cap-Breton, près des tristement célèbres étangs bitumineux de Sydney.

Ce travail a mené directement au C-226, son projet de loi d'initiative parlementaire (PMB) sur le racisme environnemental. Le projet de loi C-226 fait suite à deux de ses projets de loi d'initiative parlementaire - qui ont maintenant force de loi - sur la maladie de Lyme et l'interdiction de garder les cétacés en captivité.

Elle s'en tient à ses principes, démissionnant lorsque son patron, le ministre de l'Environnement, a enfreint la loi en 1988 ; elle a démissionné malgré les nombreux succès qu'elle a remportés en tant que conseillère principale en matière de politiques, notamment le protocole de Montréal de 1987 qui a sauvé la couche d'ozone. Elle a été la seule députée à intervenir auprès de l'ONE contre le pipeline, faisant face à une arrestation en mars 2018 pour protester contre TMX.

Le Canada et le monde ne parviennent pas à assumer leurs responsabilités envers les générations futures. Elizabeth se consacre une fois de plus à faire en sorte que ses petits-enfants héritent d'un avenir vivable.